Le Voyage de Sahar
Le dernier bijou de chez Anouar Brahem accompagné par le duo François Couturier au Piano et Jean Louis Matinier à l’Accordéon. Un disque d’une finesse rare où Accordéon, oud et Piano échangent continuellement leur rôle, chacun apportant sa contribution au niveau rythmique et mélodique..
Les admirateurs de la musique de Brahem et ses compagnons se sont retrouvés hypnotisés par la douce insistance de ses climats et la façon inimitable qu’a Anouar de créer un univers profondément ancré dans la tradition Arabe et par ailleurs toujours porté à inventer de nouvelles relation avec d’autres formes musicales.
Commentaire du New York Time « Si l’on considère que chaque orchestre projette dans sa musique une façon singulière d’être au monde de façon collective, alors le trio d’Anouar Brahem, à la fois formation de jazz, orchestre de chambre et groupe traditionnel, évoque une sorte d’Andalousie du 21e siècle où sensibilités arabe et européenne auraient fusionné de façon si intime qu’il n’existerait désormais plus aucune frontière entre elles. Tout ça peut paraître un peu utopique, mais la beauté du projet est indéniable. »Le Voyage de Sahar fait entendre de nouvelles compositions pleine d’émotion, de puissance et de forced’évocation mais propose également trois nouvelles versions depièce parmi les plus célèbres du compositeur : « vague », « E la nave Va » et « Halfaouine ».
Le Da Vinci code
Un ouvrage qui a fait fureur dans le monde entier, traduit en 44 langues pour prés de 40 millions de lecteurs et les lieux évoqués au détour des pages font maintenant l’objet de véritables circuits touristiques…le Da Vinci Code est un bouquin qu’on ne peut fermer avant de le terminer
L’histoire commence comme un roman policier classique, le conservateur du Louvre est retrouvé assassiné dans son musée dans une position singulière qui évoque l’homme de Vitruve, le célèbre dessin de Léonard de Vinci, mais ce n’est que le début d’un épais thriller rocambolesque augmenté d’une romance à l’eau de rose.
En introduction du livre, l’auteur, Dan Brown, indique que « toutes les descriptions de monuments, d’œuvres d’art, de documents et de rituels secrets évoqués sont avérées »
Alors, est ce que une astuce littéraire ou bien est ce que Brown croit vraiment ce qu’il écrit…dérangeant, notamment quand on sait qu’il s’en est pris à l’église catholique et à l’Opus Dei (puissante organisation religieuse conservatrice). On ne déflorera pas ici l’intrigue mais pour ceux qui n’ont pas encore lu le livre et qui sont amateurs de conspiration, de mystère foncé si non il y a toujours le cinéma pour aider les plus fainéants car le film est sortis en avant première au festival de Canne (disponible en DVD) avec Tom Hanks, Audrey Tautou et Jean Reno. Et pour toucher les différentes facettes de l’histoire, sont parus plusieurs publications et documentaires quiessayent d’expliquer l’intrigue et donton peut conseiller « le Code Da Vinci décrypté » (CD en vidéothèque !!)
Et vivement la suite, la clé de Salomon..
L’histoire commence comme un roman policier classique, le conservateur du Louvre est retrouvé assassiné dans son musée dans une position singulière qui évoque l’homme de Vitruve, le célèbre dessin de Léonard de Vinci, mais ce n’est que le début d’un épais thriller rocambolesque augmenté d’une romance à l’eau de rose.
En introduction du livre, l’auteur, Dan Brown, indique que « toutes les descriptions de monuments, d’œuvres d’art, de documents et de rituels secrets évoqués sont avérées »
Alors, est ce que une astuce littéraire ou bien est ce que Brown croit vraiment ce qu’il écrit…dérangeant, notamment quand on sait qu’il s’en est pris à l’église catholique et à l’Opus Dei (puissante organisation religieuse conservatrice). On ne déflorera pas ici l’intrigue mais pour ceux qui n’ont pas encore lu le livre et qui sont amateurs de conspiration, de mystère foncé si non il y a toujours le cinéma pour aider les plus fainéants car le film est sortis en avant première au festival de Canne (disponible en DVD) avec Tom Hanks, Audrey Tautou et Jean Reno. Et pour toucher les différentes facettes de l’histoire, sont parus plusieurs publications et documentaires quiessayent d’expliquer l’intrigue et donton peut conseiller « le Code Da Vinci décrypté » (CD en vidéothèque !!)
Et vivement la suite, la clé de Salomon..
Med rock
Paradise now
Genre : Drame
Durée : 1h 27min.
Année de production : 2005
Titre original : Paradise Now
Réalisé par Hany Abu-Assad
Avec Lubna Azabal, Hiam Abbass, Kais Nashef
Film palestinien, allemand, français et néerlandais.
Ce film a fait couler beaucoup d’encre, non seulement parce qu’il représente la cause palestinienne, mais parce qu’il présente pour la première fois les ‘kamikazes’ palestiniens dans un cadre différent. Les images qui nous sont véhiculées par les médias étaient (dans ce film) loin d’être réelles. Ce sont des gens qui s’évadent, s’aiment et aussi aiment la vie. Si dans un moments ils ont choisi de se faire exploser, c’est parce l’espoir d’apprécier les plaisirs de la vie étaient absents en présence de la colonisation.
Deux amis d'enfance palestiniens, Khaled et Saïd, sont désignés pour commettre un attentat suicide à Tel Aviv. Engagés volontaires depuis plusieurs années dans une faction, ils se sont liés par un contrat moral qu'ils ne peuvent et ne veulent rompre. Ils passent une dernière soirée avec leur famille sans pouvoir toutefois leur dire adieu. Le lendemain, munis de leurs ceintures d'explosifs, ils sont conduits à la frontière. Mais l'opération ne se déroule pas comme prévu et ils devront refaire l’opération.
Durée : 1h 27min.
Année de production : 2005
Titre original : Paradise Now
Réalisé par Hany Abu-Assad
Avec Lubna Azabal, Hiam Abbass, Kais Nashef
Film palestinien, allemand, français et néerlandais.
Ce film a fait couler beaucoup d’encre, non seulement parce qu’il représente la cause palestinienne, mais parce qu’il présente pour la première fois les ‘kamikazes’ palestiniens dans un cadre différent. Les images qui nous sont véhiculées par les médias étaient (dans ce film) loin d’être réelles. Ce sont des gens qui s’évadent, s’aiment et aussi aiment la vie. Si dans un moments ils ont choisi de se faire exploser, c’est parce l’espoir d’apprécier les plaisirs de la vie étaient absents en présence de la colonisation.
Deux amis d'enfance palestiniens, Khaled et Saïd, sont désignés pour commettre un attentat suicide à Tel Aviv. Engagés volontaires depuis plusieurs années dans une faction, ils se sont liés par un contrat moral qu'ils ne peuvent et ne veulent rompre. Ils passent une dernière soirée avec leur famille sans pouvoir toutefois leur dire adieu. Le lendemain, munis de leurs ceintures d'explosifs, ils sont conduits à la frontière. Mais l'opération ne se déroule pas comme prévu et ils devront refaire l’opération.
Mais l’un d’eux a choisi d’abandonner l’opération et de terminer sa vie, et ce n’était pas facile pour l’autre. Cette opération était pour lui nécessaire pour décrasser l’image de sa famille face à ces voisins après l’exécution de son père par les activistes palestiniens, lui qui était un espion pour les israéliens.
Est-ce qu’il va choisir l’honneur de sa famille ou bien le retour à sa vie normale ? Mais si cette vie est devenue extrêmement dure et pleine de désespoirs ?
‘Paradise now’ dans la presse française:
Elle- Florence Ben-Sadoun:
"Paradise Now" montre, sans la défendre, la spirale infernale qui mène à l'acte terroriste. C'est le défi réussi de Hany Abu-Assad. (...) Et le spectateur reste ceinturé d'angoisse sur son fauteuil jusqu'à la dernère image.
Score - William Audureau:
Sans jamais cautionner, Paradise Now préfère comprendre que juger (...) Il va chercher de l'humanité là où on n'en voudrait pas voir, mais se révèle surtout, au final, un délicat réquiem, absurde et contemplatif, sincère et subtil.
Est-ce qu’il va choisir l’honneur de sa famille ou bien le retour à sa vie normale ? Mais si cette vie est devenue extrêmement dure et pleine de désespoirs ?
‘Paradise now’ dans la presse française:
Elle- Florence Ben-Sadoun:
"Paradise Now" montre, sans la défendre, la spirale infernale qui mène à l'acte terroriste. C'est le défi réussi de Hany Abu-Assad. (...) Et le spectateur reste ceinturé d'angoisse sur son fauteuil jusqu'à la dernère image.
Score - William Audureau:
Sans jamais cautionner, Paradise Now préfère comprendre que juger (...) Il va chercher de l'humanité là où on n'en voudrait pas voir, mais se révèle surtout, au final, un délicat réquiem, absurde et contemplatif, sincère et subtil.
Kifagi Chamseddine
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